Publié le

Concert commenté le 14 mars 2020

Tout schuss !

Le 14 mars à 20 h 30
Chapelle de Conflans
7 rue de l’Archevêché / 11 rue du Séminaire de Conflans
Charenton-le-Pont
Libre participation

Concert commenté par Philippe Cathé

affiche

Programme

Dvořák

Dans la nature (V přírodě), Op. 63
1. Napadly písně v duši mou
2. Večerní les rozvázal zvonky
3. Žitné pole jak to zraje vesele
4. Vyběhla břiza běličká
5. Dnes do skoku a do písničky

Górecki

Totus Tuus, Op. 60

Penderecki

Agnus Dei

Tchaïkovski

Pater Noster

Szymanowszki

Six chants de Kurpie (Széc piesni kurpiowskich)

Publié le

V přírodě par le Chœur de Radio France

Martina Batič entraîne le Chœur de Radio France dans les paysages animés de la musique tchèque. Dvořák, Martinů et Janáček jouent les guides, l’orgue et la harpe apportent leur couleur. En seconde partie, Křenek fait chanter les saisons sur des textes du grand Hölderlin.

Dvořák, Martinů, Janáček
Jeudi 12 mars 2020 20 h 00 Maison de la radio – Auditorium
Radio France Les concerts

Nous avons en commun le même coach linguistique : Stanislav Pavilek !

 

 

Publié le

Les piétons-chanteurs et cyclistes-chanteurs en tchèque

Stanislav Pavilek

Les 4 et 11 décembre, les répétitions de l’ECM sont dirigées par Stanislav Pavilek, professeur de chant choral au conservatoire de Montreuil et coach linguistique pour le tchèque. Nous travaillons V přirodě (Dans la nature) de Dvořák.

La langue tchèque

Stanislav nous explique que le tchèque, pratiqué oralement dans les milieux populaires (paysans, ouvriers et artisans), n’a commencé à être écrit et n’est devenu une langue de culture que vers les années 1860. Les poèmes mis en musique par Dvorak sont donc parmi les premiers textes littéraires existant en tchèque. Sous le règne des Habsbourg, la langue officielle était l’allemand. Kafka, par exemple, écrivait en allemand et Smetana a commencé à composer sur des textes en allemand.

Florilège sur la prononciation

Le S slave

Nous apprenons que le S est toujours prononcé SS, sans aucun soupçon de Z dedans. Même quand il est suivi d’un V. Le prénom Svetlana se prononce donc SSvetlana et pas Zvetlana. C’est le S de Slave (on ne dit pas Zlave).

Ce piège se trouve dans plusieurs numéros du Dvořák :
– dans le n° 1, « svitání / svɪ-taː-niː » (mesures 45-46 et 50-51)
– dans le n° 3, « cvrček / tsvər-tʃɛk » (2e couplet mesure 10)
– dans le n° 4, « svět / svjɛt » et « svátečně / svaː-tɛtʃ-njɛ »  (mesures 28, 29, 32, 45 et 47)
– dans le n° 5, « svět / svjɛt », « svatebnímu / sva-tɛb-niː-mʊ », « svíce / sviː-tsɛ » et « světem / svjɛ-tɛm » (mesures 8, 12, 38-42 et 87-88).

Et l’accent tonique est toujours sur la 1ère syllabe du mot.

srdce ???

Ce mot, qui signifie « cœur » en tchèque, est notre bête noire dans le n° 5. Stanislav l’a prononcé \sərdtsɛ\, en faisant d’ailleurs un lien avec sa prononciation en russe et en allemand. Les enregistrements de chœurs (dont au moins deux chœurs de Prague) le chantent \sərdtsɛ\ ou \sərtsɛ\ (le « d » et le « t » étant confondus en un seul « t »).

Quand on vous dit que nous sommes un choeur-atelier, ici, nous faisons de la phonétique par exemple.

Chanteurs à pieds, chanteurs à vélo

Malgré la grève à la RATP (appelée pudiquement « mouvement social » car en effet qui ne s’est pas donné de mouvement ce 11 décembre pour aller travailler ou répéter ?), 20 courageux chanteurs sont présents à la répétition. Bravo aux piétons, cyclistes et co-voitureurs.

Publié le

V přirodě. op. 63

V přirodě est un cycle de cinq mélodies composé par Antonin Dvořák en janvier 1882. Le texte est issu du recueil Dans la nature du poète tchèque Vítězslav Hálek. Publié en deux parties en 1872 et 1874,  le poète y décrit, dans 172 poèmes, les paysages champêtres de la Bohème centrale, sa région natale :

I Napadly písně duši mou… (Mon âme de chansons est envahie…)
XXXVIII Večerní les rozvázal zvonky… (La forêt du soir a délié les cloches…)
XIII Žitné pole, žitné pole…
(Champ de seigle…)
XI Vyběhla bříza běličká…
(Un bouleau tout blanc a éclos…)
XXXVII Dnes do skoku a do písničky …
(Ce jour de saut de joie en chantant…)

Traduction des titres proposée par Diana Chiron

Portrait de Vítězslav Hálek

Publié le

ding-a-dong-a-ding…

 

Danse de la fée Dragée

Du be du be dua

Ding-a-ding, dong, ding, dong, ding-a-ding, ding-a-ding, ding-a-ding, ding-a-dong-a-ding

Balé, balé, balé, balé

Plum, plum, plum, plum, plum, plum, plum, plum

mots dépourvus de sens de Lydia Smallwood

autruche ballerine
Autruche-ballerine dans Fantasia de Walt Disney
Publié le

Programme du salon musical

Claude Gervaise (XVIe siècle)
Elle voyant
Sabine, Brigitte, Jean-Jacques
Jacotin (XVIe siècle)
Qui veut aimer
Sabine, Brigitte, Jean-Jacques
Antonio Lotti (1667-1740)
Missa Brevis. Sanctus
Isabelle C., Philippe, Jacques
Giovanni Battista Pergolesi (1710-1736)
Stabat Mater (adaptation à 4 voix a cappella de Pierre)
Anne-Laure, Brigitte, Jean-Jacques, Pierre
Joseph Haydn (1732-1809)
Betrachtung des Todes
Marie-Christine, Jean-Noël, Olivier M.
Joseph Haydn (1732-1809)
An die Frauen
Philippe, Jean-Noël, Hervé
Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
Nocturnes.
Due pupille amabili
Nocturnes.
Et piu non si trovano
Frédérique, Hélène, Jacques
John Liptrot Hatton (1809-1886)
Auburn
Softly fall the shades of evening
Isabelle C., Isabelle M., Philippe, Gilles
Gabriel Fauré (1845-1924)
Madrigal
Dominique L., Isabelle T., Jean-Noël, Jacques-Yves

Pianiste – chef de chant : Patrice Vanneufville

Publié le

Calendrier de l’Avent 2019

Dans un calendrier, des idées pour s’imprégner de l’esprit de Noël, partagées par les membres de l’ensemble.
L’adorable bambin qui illustre le fond du calendrier est Matts Larsson, fils du peintre Carl Larsson.
L’exposition «Carl Larsson, l’imagier de la Suède» au Petit Palais a présenté pour la première fois en France en 2014 la grande figure de l’art suédois des années 1900.

Publié le

Toute la musique du monde obéit à la même grammaire universelle

C’est la conclusion que partage une équipe de chercheurs dans un article paru dans Science.

Vous avez la sensation que la musique a ce « petit quelque chose » d’universel ? Une équipe de chercheurs apporte des données scientifiques pour appuyer cette idée.

L’article de Numérama du 22 novembre, par : Toute la musique du monde obéit à la même grammaire universelle